Le monde a peur
Le monde a peur. Satan a introduit la peur après le péché du premier couple, c’est donc une conséquence du péché : « J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. » Genèse 3 : 10. A partir de ce moment, la peur prit racine dans ce monde, dans tous les esprits humains.
La peur a ensuite approfondi et étendu ses racines, ce qui rend impossible de l’extirper sans une aide externe à l’être humain. Tout ce que l’homme peut faire pour la vaincre sans l’aide de Dieu, est voué à l’échec et la peur, tôt ou tard, poursuivra son œuvre de destruction.
Une arme mortelle
La peur est l’arme utilisée par le diable pour détruire les âmes des enfants, des jeunes gens, des adultes, des aînés. Il veut détruire le professionnel, le scientifique, le profane, l’érudit, l’artiste, l’athlète, le militaire, le banquier, le professeur, la ménagère, le médecin, le patient et même celui qui professe croire en Jésus. Nous ne pouvons pas combattre contre cette arme avec nos propres forces. Dans l’homme, il n’y a aucune ressource inhérente pour qu’il puisse affronter la peur de manière efficace. L’arme de la peur crée l’anxiété, l’instabilité, l’insécurité, la dépression, l’horreur, l’angoisse, le désespoir, la culpabilité, les pensées suicidaires, la maladie, la tristesse, et même la mort.
Notre adversaire le diable, a une armée bien organisée pour pointer son arme sur n’importe quel être humain, peu importe son âge, son sexe, sa croyance, son origine ou son statut social. Avec cette arme il peut toucher notre système nerveux, qui est le centre de l’équilibre de notre corps ; le cerveau est alors endommagé et ne perçoit pas la réalité dans sa propre dimension. Satan utilise particulièrement cette arme pour ruiner les gens et les amener à dépendre entièrement de lui, les éloignant de Dieu.
Les gens ont peur : de l’échec au travail, de l’échec sentimental, de l’échec social ou du rejet social, de la maladie, de la douleur physique et mentale, de la mort, de l’inconnu, de la souffrance, des ténèbres, des animaux, des pouvoirs occultes, du ridicule, de la censure, de la punition, de l’avenir, du passé, de l’agressivité, de la solitude, de la vieillesse, etc.
Nous pourrions encore citer maintes autres peurs. La peur mentale est la pathologie de l’histoire passée et présente et touche tout le monde. La peur paralyse les individus, les rend pratiquement nuls. L’homme sombre quand il a peur ; les sentiments et les émotions qui découlent de la peur peuvent nous rendre malades. La peur relâche des toxines mortelles dans le corps comme l’adrénaline et le cortisol, des substances qui attaquent notre corps. La peur produit plus de 1400 réactions chimiques et libère plus de 30 hormones qui rendent malade et tuent.
La peur peut se convertir en phobie, qui est une peur irrationnelle compulsive ou une aversion obsessionnelle, de forme pathologique à certaines situations, peur d’un insecte, d’une personne ou d’un objet, entre autres. Ceux qui souffrent de phobies présentent des anxiétés et du stress. Pourquoi ? Parce qu’ils sont conscients que leur peur de certaines choses ou de circonstances est disproportionnée, mais ils ne peuvent s’empêcher de la subir.
Les phobies surviennent généralement après avoir vécu un événement traumatique. Un individu a peut-être en tant qu’enfant été griffé par un chat. En tant qu’adulte il souffrira d’ailourophobie, qui est la peur des chats. Les phobies sont nombreuses : La lalophobie, la peur de parler ; l’arachnophobie, la peur des araignées, l’agoraphobie, la peur des lieux publics ; la nyctophobie, la peur de l’obscurité ; l’acrophobie, la peur des hauteurs ; la claustrophobie, la peur des espaces clos ; la coulrophobie, la peur des clowns ; l’astraphobie, la peur des tempêtes et bien d’autres. Il y a des phobies qui sont en elles-mêmes assez incompréhensibles comme la lévophobie, qui est la peur ou la panique que quelqu’un éprouve à l’égard de ce qui est sur le côté gauche de son corps ou la dextrophobie qui est une peur persistante, anormale et injustifiée des objets situés à la droite du corps. Est-ce rationnel? Dans ces cas, nous entrerions dans le domaine de la pathologie.
La peur change selon les époques, l’âge de l’individu, le contexte social, l’éducation, les croyances, mais en définitive, c’est la peur réelle que l’homme ressent et qui a de graves conséquences pour tous. Adam et Eve ont eu peur et se cachèrent loin de la présence de Dieu. Extraordinaire ! La peur les sépara de l’Eternel, de celui qui les avait créés.
Depuis lors, la liste est sans fin. Abraham mentit en disant que Sara était sa sœur, de peur qu’on le tue pour la lui voler. Jacob eut peur de son frère et s’enfuit pour que celui-ci ne le tue pas. Moïse eut peur d’être tué quand il apprit que son crime avait été découvert et il s’enfuit. Saül et son armée eurent peur de Goliath. Les Egyptiens eurent peur des Israélites quand tombèrent les plaies dévastatrices. Les marins du bateau où Jonas était à bord, eurent peur de la tempête. Les disciples eurent peur de Jésus quand ils ne le reconnurent pas alors qu’il marchait sur les eaux ; ils eurent peur quand la tempête se déchaina ; ils eurent peur quand Jésus fut arrêté. Pierre eut peur quand il s’enfonça dans la mer. Il eut peur de dire la vérité qu’il était un disciple de Jésus, et mentit ouvertement. Les disciples eurent peur d’être persécutés et tués après la mort du Christ … Oh, combien de peurs ! Et la peur continue. …
L’antidote
Jésus sait comment supprimer nos peurs, voilà pourquoi dans la Bible apparaît des centaines de fois le terme : « Ne crains point. » Jésus sait à quel genre de crainte chacun de nous doit faire face parce qu’il a vécu sur cette terre et il nous connaît très bien. Il est venu mourir sur le Calvaire pour mettre fin à nos craintes et à celui qui les produit : Satan. Le sang de Jésus est un gage de notre délivrance des chaînes de la peur, peu importe sa nature. Dans la Parole de Dieu, nous pouvons identifier plusieurs étapes que nous devons suivre pour surmonter la peur.
Obéir
La première étape pour surmonter la peur, c’est l’obéissance. Si nous désirons ne pas avoir peur, nous devons apprendre à vivre en harmonie avec celui qui a le pouvoir d’éliminer toutes nos peurs. Jésus a dit : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements. » Jean 14 : 15. L’obéissance à la loi de Dieu donne à l’âme paix et sécurité : « Oh ! si tu étais attentif à mes commandements ! Ton bien-être serait comme un fleuve, et ton bonheur comme les flots de la mer. » Esaïe 48 : 18.
L’obéissance n’est pas le fruit naturel du cœur humain, nous pouvons le produire seulement quand l’Esprit de Dieu habite en nous, alors il produira ce fruit, d’où l’importance de demander à Dieu sans cesse, que la grâce de Christ produise en nous le vouloir et le faire. (Philippiens 2 : 13).
Quand on vit en constante transgression de la loi de Dieu, on perd la sécurité des promesses de Dieu, l’ennemi prend le contrôle de la vie et il est presque impossible de ne pas éprouver de la peur face à diverses circonstances. Jésus a vécu une vie de fidélité et le résultat fut qu’il vivait sans crainte.
Une conscience souillée par le péché ne peut jamais produire la sécurité mentale, la stabilité émotionnelle, la confiance en Dieu, bien au contraire. Persister dans le péché est la voie de la peur et de l’angoisse intérieure.
« Les lois de Dieu puisent leur fondement dans la rectitude la plus immuable, et elles sont ainsi faites qu’elles procurent le bonheur à ceux qui les observent. » – Pour un bon équilibre mental et spirituel, vol. 2, p. 584.
L’assurance de servir l’Eternel offre une pensée positive et optimiste, aiguise la perception des choses spirituelles, et prédispose à accepter exactement ce que le Seigneur promet de faire avec ses enfants ; cela augmente spécialement la foi et la foi déplace les montagnes. N’oublions pas que des hommes et des femmes comme nous : « par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions, éteignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l’épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères. Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection ;…» Hébreux 11 : 33-35.
La foi en notre Seigneur et en sa Parole est un élément extraordinaire dans le cœur humain pour surmonter la peur de la souffrance et du mal. « D’autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison ; ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l’épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités, eux dont le monde n’était pas digne,… » Hébreux 11 : 36-38.
Je suis conscient qu’il est très facile de théoriser assis sur une chaise, mais celui qui vous parle a aussi dû faire face à des situations très désagréables, des dangers et des épreuves complexes et seulement en vivant en harmonie avec ce qui est exposé ici, j’ai pu surmonter mes craintes. Je comprends que c’est une chose que d’être dans le feu et une autre chose de voir comment les autres sont brûlés, mais dans ce monde, nous allons tous devoir nous voir au milieu des flammes pour répondre ainsi à notre expérience de foi.
Schadrac, Méschac et Abed-Nego, avaient décidé d’obéir à Dieu plutôt qu’au roi qui exigeait d’eux la transgression de la loi du Décalogue. Le résultat fut qu’ils furent condamnés à la peine de mort. Ils auraient put choisir soit de trembler comme des roseaux dans le vent ou mettre toute leur confiance en Dieu. Ils décidèrent de faire ce dernier choix et le résultat fut un miracle extraordinaire dans leur vie.
Dans l’histoire des trois jeunes Hébreux, que nous trouvons dans le chapitre trois du livre de Daniel, nous pouvons voir que la première étape pour surmonter la peur est l’obéissance aux lois de Dieu, et même la seconde, que nous allons citer.
Confiance
La deuxième étape à apprendre est d’avoir confiance en Dieu et dans ce qu’il nous enseigne dans sa Parole. Les jeunes gens courageux dirent au roi qu’ils ne pouvaient pas obéir à l’ordre parce que c’était contraire à la loi de l’Eternel qu’ils considéraient comme supérieur. Le roi les menaça avec la peur de la mort. « Si vous ne m’obéissez pas, je vous ferai jeter dans la fournaise de feu » leur dit-il. Mais ils ne pensèrent pas deux fois au feu destructeur, plutôt ils mirent leur foi dans la puissance de Dieu qui pouvait les délivrer ; ils allèrent même au-delà, au point de croire que même si Dieu choisissait de ne pas les délivrer des flammes, ils étaient prêts à accepter le supplice avec humilité de cœur et sans renier leur Dieu. Cette œuvre ne peut se faire qu’avec l’Esprit de Dieu dans l’âme!
Il est inutile de dire que nous croyons si nous ignorons ce que le Seigneur nous transmet dans les Saintes Ecritures. Elles contiennent des milliers de promesses, que Dieu, dans son grand amour et sa miséricorde, a données à chacun de nous pour que nous les acceptions et les fassions nôtres. Et une de ces promesses nous dit : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point. » Jean 14 : 27. C’est le même Dieu qui nous appelle à ne pas avoir peur, à ne pas craindre, de tout laisser entre ses mains. « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. » Matthieu 11 : 28, 29.
Dans les pages sacrées, nous trouvons de nombreuses preuves de l’amour de Dieu pour chacun de nous, qui se traduit de manière spéciale avec la phrase « Ne crains point. » Nous pouvons trouver de nombreux versets qui nous établissent dans l’assurance que Dieu ne nous abandonnera pas face à des situations particulières qui peuvent causer la peur ou menacer notre paix intérieure :
« Ne t’ai-je pas donné cet ordre : Fortifie-toi et prends courage ? Ne t’effraie point et ne t’épouvante point, car l’Eternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu entreprendras. » Josué 1 : 9.
« Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent. » Psaume 23 :4.
« Il ne craint point les mauvaises nouvelles ; son cœur est ferme, confiant en l’Eternel. » Psaume 112 : 7.
« Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de passereaux. » Matthieu 10 : 31.
« J’ai cherché l’Eternel, et il m’a répondu ; Il m’a délivré de toutes mes frayeurs. » Psaume 34 : 4.
« L’Eternel est pour moi, je ne crains rien : Que peuvent me faire des hommes ? » Psaume 118 : 6.
« Si tu te couches, tu seras sans crainte ; et quand tu seras couché, ton sommeil sera doux. » Proverbes 3 : 24.
« Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante. » Esaïe 41 : 10.
« La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. » 1 Jean 4 : 18.
« Terre, ne crains pas, sois dans l’allégresse et réjouis-toi, car l’Eternel fait de grandes choses ! » Joël 2 : 21.
« Il n’aperçoit point la chaleur quand elle vient, et son feuillage reste vert ; dans l’année de la sécheresse, il n’a point de crainte, et il ne cesse de porter du fruit. » Jérémie 17 : 8.
« Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point. » Jean 14 : 17.
Que penserait un père responsable et aimant de ses enfants, si ceux-ci montraient de la méfiance en sa parole ? « Oui, papa, nous t’aimons, mais nous n’avons pas confiance en ce que tu nous dis. » Cela déchirerait le cœur du père. Ne pas croire à la parole du Seigneur nous met sur un terrain sur lequel nous ne pouvons pas trouver la paix, la sécurité, la tranquillité d’esprit. Donc, dans un premier temps, nous devons apprendre à faire confiance à la Parole de Dieu. Plus nous aurons confiance dans le Seigneur, plus nous le connaitrons et l’aimerons, parce qu’il : « n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas ? » Nombres 23 : 19.
Faire entièrement confiance à Dieu nous aide à comprendre que le contrôle de toutes les choses de ce monde et même notre vie sont entre ses mains et il fera au mieux pour chacun de ses enfants. Celui qui se confie en l’Eternel vit calmement et éloigne ses craintes. La messagère de Dieu apprit la leçon de la confiance quand elle fut confrontée à la maladie, qui est généralement un facteur de peur assez commun:
« Pendant ma maladie, j’ai appris quelques leçons précieuses : J’ai appris à faire confiance là où je ne pouvais pas voir. Bien qu’incapable de faire quoi que ce soit, j’ai appris à me reposer tranquillement, calmement, dans les bras de Jésus. Nous n’exerçons pas la foi comme nous le devrions. Nous avons peur de nous appuyer sur la Parole de Dieu. A l’heure de l’épreuve, nous devrions renforcer nos âmes dans l’assurance que les promesses de Dieu ne peuvent jamais échouer. Ce qu’il a dit se fera. … » – Life Sketches, p. 293.
Non aux souvenirs négatifs
Dans la lutte pour vaincre la peur, il est de la plus haute importance de comprendre le poids que les mauvais souvenirs ont dans nos vies. Le passé est pour beaucoup comme une lourde et épaisse chaîne qui les emprisonne dans la prison de la peur. Ils ne peuvent pas faire un pas en avant, car ils se concentrent toujours sur le passé. Le passé les étouffe, les déprime, leur fait peur, c’est comme un fantôme qui les hante. Nous devons apprendre à briser cette fixation avec l’aide de Dieu : « Ne pensez plus aux événements passés, et ne considérez plus ce qui est ancien. » Esaïe 43 : 18.
Le passé est valide parce qu’il fait partie de notre histoire, mais ce n’est pas toute notre histoire. Si nous sommes en vie, c’est parce qu’il y a encore de l’espoir pour nous. Inutile de se concentrer sur le passé pour vivre dans ses coquilles, déplorant ce qui nous est arrivé, ce qu’on nous fait, ou ce que nous avons fait ou pas fait. …
Il est intéressant de souligner que, 85% des peurs des gens sont pour des questions qui se sont produites dans le passé. Le passé doit servir à quelque chose. Si nous avons commis des erreurs, c’est pour ne plus en commettre, si nous avons été négligents en certaines choses c’est pour que nous corrigions notre mode de vie. Jésus enseignait aux gens que la solution à tous les problèmes était de cesser de faire le mal. Ce qui a été, maintenant est passé, nous pouvons racheter notre passé en faisant le bien dans le présent. Il y aura des choses qui ne pourront pas être restaurées, mais cela est dans les mains de Dieu. Cependant, nous pouvons écrire une nouvelle histoire, un nouveau chapitre.
Les craintes qui reviennent à la mémoire, qui nous rappellent le passé, ne doivent pas être interprétées comme des menaces. Au moment où nous les assumons et acceptons ce qui s’est passé, est passé et ne peut être changé, alors nous les percevrons comme des leçons précieuses pour ne pas répéter la même erreur. Et même plus, nous pouvons utiliser ces expériences comme un facteur pédagogique pour croître dans la foi et l’enseigner aux autres. Même dans les choses les plus tragiques que nous avons vécues, il y a des messages codés de la part de l’Eternel qui contiennent une communication positive pour notre âme. Nous devons comprendre que les vainqueurs ne sont pas ceux qui n’ont pas eu de difficultés, d’épreuves, d’angoisses et des pertes dans le passé, mais qu’ils ont utilisé tout cela comme un tremplin pour vivre un avenir meilleur.
« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. » Philippiens 4 : 6, 7.
Conclusion
L’amour et la miséricorde du Seigneur doivent nous rendre certains que tous nos défauts et nos péchés ont été payés par le Christ sur la croix du Calvaire. Nous devons nous confier en ses mérites divins et exercer la foi en son sacrifice expiatoire, pour obtenir le pardon et la paix, donc la délivrance de la peur : « Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. » Romains 5 : 1.
Cher lecteur, qui que vous soyez, où que vous soyez … Le Seigneur Jésus-Christ désire vous aider à supprimer toutes vos craintes. Laissez-le faire aujourd’hui. Demandez-le-lui dans la prière, confiant qu’il en sera ainsi et espérant pour le mieux. Il y a une issue de sortie pour chaque problème ainsi et une porte ouverte à l’espérance pour chacun de nous. Que l’Eternel vous bénisse.
Pasteur José V. Giner
